Le mutationnisme de la théorie de l’évolution en échec !
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Dans son livre de 2017 « BRISER LES MYTHES DU DARWINISME », Richard Milton a déclaré : « Les troubles fonctionnels majeurs chez les humains, les animaux et les plantes sont causés par la perte ou le déplacement d’une seule molécule d’ADN, ou même d’un seul nucléotide au sein de cette molécule… Il n’y a [donc] aucune preuve de mutations génétiques bénéfiques. »
De plus, la loi génétique découverte par le moine Grégoire Mendel apporte une démonstration supplémentaire dans le monde des organismes vivants comparable à celle de la table périodique des éléments dans le domaine de la matière non-organique. Les mutations n’ajoutent jamais de nouvelles informations génétiques à une forme de vie mais dégradent généralement ce qui existe.
Une mutation évolutionnaire dans un organisme humain ?
« Les mutations sont des événements rares. Toute nouvelle mutation particulière de l’ADN ne se produira qu’une seule fois sur environ 100 millions de gamètes. »
Si la théorie de l’évolution de Darwin doit être prise au sérieux, cela signifierait que l’oiseau nommé colibri et la fleur de « Balisier » qu’il pollinise en Guadeloupe (regarder la photo ci dessus) sont des descendants du lézard vert commun du Sahara et du pin sylvestre originaire de Scandinavie, et grâce à des mutations exceptionnelles… Vous avez dit « impossibles » ??
Comme si cela ne suffisait pas, lorsqu’une seule mutation survient chez un seul nouveau-né, même s’il s’agit d’une mutation favorable, il y a de fortes chances qu’elle ne se présente pas à la génération suivante car son unique porteur ne la transmettra peut-être pas, par hasard, à sa progéniture. Seulement une mutation sur 100 millions survit sur une gamète (spermatozoïde ou ovule)…
Et cette gamète devrait de plus rencontrer une gamète femelle (qui elle aussi serait apparue sur 1/100 millionième de probabilité) et ces deux gamètes fusionneraient lors d’une fécondation entre deux humains… Un hasard bien improbable, et il ne s’agit là que d’une seule mutation d’un seule « lettre de l’ADN « (nucléotide) et pas du tout d’un « gène nouveau », ou encore moins d’un organe nouveau qui tout deux nécessiteraient des niveaux de probabilité astronomiquement plus élevés ! (…)
Mutations invalidantes et mortelles chez l’Humain
Les exemples de mutations célèbres chez l’Humain son au nombre de 4500 : elles sont toutes invalidantes et provoquent toutes la mort prématurée.
L’une des fausses hypothèses de Darwin « était que la sélection naturelle avait une capacité de construction ou de création, et ce n’est pas le cas ». Elle supprime des informations. « Chaque exemple moléculaire d’une mutation que nous avons actuellement ne fournit pas de mécanisme pouvant expliquer l’origine de toute activité ou fonction génétique. »« Pour que l’information s’accumule dans les organismes vivants, il faut qu’elle soit créée quelque part… Bien que dans certains cas particuliers, une perte d’information puisse entraîner un avantage pour l’organisme, l’évolution à grande échelle pour laquelle le CND [théorie néo-darwinienne] est censé rendre compte ne peut se fonder sur de telles mutations ».
« La plupart des mutations qui provoquent des changements dans la séquence d’acides aminés des protéines ont tendance à endommager la fonction à un degré plus ou moins grand… la plupart des acides aminés au centre de la protéine ne peuvent pas être modifiés sans avoir des effets délétères drastiques sur la stabilité et la fonction du molécule. » (…)
L’évolutionnisme ignore le réel et postule l’imaginaire
Suggérer que les mutations évoluent vers de nouveaux types de vie n’a pas plus de sens que de prétendre que la maladie favorise la bonne santé. La rhétorique vide de l’évolutionnisme manque de substance une fois que tout le battage médiatique, les sons de cloche et les sifflets se sont tus. Des diagrammes astucieux, des slogans accrocheurs et une imagination colorée ne garantissent pas la respectabilité scientifique.
Le mensonge évolutionniste s’effondre sur lui-même, tombant en un néant abstrait lorsqu’il est exposé à l’examen de preuves tangibles sous les rayons pénétrants du soleil éclairant de la découverte scientifique.
Le médecin Sean Pitman affirme que « si l’évolution de style darwinien se produit ou ne se produit pas, elle se produit ou ne se produit pas génétiquement… Le mécanisme darwinien des mutations aléatoires combinées à la sélection naturelle était statistiquement intenable – dramatiquement. Étant donné des milliards, voire des billions d’années, tous ces milliards d’années sont désespérément insuffisant pour expliquer l’origine de nouvelles informations biologiques fonctionnelles…»
Un « conte de fée pour adulte »
L’analyse du très célèbre biologiste Louis Bounoure affirme que l’évolution n’est rien d’autre qu’« un conte de fées pour adultes» : cette théorie n’a servi à rien dans le progrès de la science. Elle est inutile au plan de la Science (RÉELLEMENT) ou de la médecine.
Les découvertes en cours dans le monde moléculaire des années 200 à 2020, suggèrent que les mutations pourraient s’avérer être la clé à molette du créationnisme affirme Gregor Mendel. Johann Gregor Mendel était un moine qui fut généticien et botaniste au XIXe siècle, il est communément reconnu comme le père fondateur de la génétique et découvreur de l’hérédité. Il avait sapé la théorie de l’évolution avec ses expérimentations sur l’hérédité des « petits pois » comestibles. En étudiant les hybrides issus de croisements de petits pois, il montra que des facteurs génétiques différents, transmis par les gamètes, gouvernaient les caractères.
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Extraits d’un article d’Etienne Didoult publié Lire l’article complet