Jusqu’où va la folie médiatique : l’accusation d’esclavage sexuel
- Jusqu’où va la folie médiatique : l’accusation d’esclavage sexuel. Le rempart absolu pour la vérité : la responsabilisation Février 78aH*/ 2024
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Alors que la nouvelle série diffusée dans le monde entier sur Raël se classe numéro un des séries visionnées et que la vague médiatique s’emballe, il s’agit de rappeler les faits et la vérité sur certains points évoqués.
En préambule, rappelons que « la réduction en esclavage et l’exploitation des personnes réduites en esclavage » est un crime d’atteinte à la personne puni de 20 années de réclusion criminelle dans de nombreux pays, dont la France et le Canada. Aucune plainte, ni enquête, ni condamnation pour de tels faits odieux et criminels n’existent. Le Mouvement Raélien et son fondateur, Raël, rappellent, comme ils le font depuis 50 ans, que signaler immédiatement aux autorités policières et judiciaires les faits de violences dont une personne pourrait être victime ou témoin est primordial et encouragé. Ne pas le faire en tant que témoin est de la non-assistance à personne en danger. Et il y a encore beaucoup à faire pour que leur parole soit entendue dignement par celles-ci dans de bien nombreux pays, dont la France et le Canada. La philosophie raélienne est fondée sur la non-violence absolue ce qui inclus, de fait, le respect inconditionnel d’autrui, de son intégrité, de ses choix, et donc bien le consentement. Elle concerne toutes formes de violence : physiques, psychiques, sexuelles.
Le public serait-il si habitué aux embrasements médiatiques, déformant, colportant des rumeurs sur les femmes raéliennes et leur leader spirituel au point qu’un cap de plus ait à être franchi dans cette escalade de haine des minorités religieuses et de recherche d’audience. Des propos d’une extrême gravité sont rapportés et relayés sur les réseaux sociaux, sous le couvert d’une pseudo-infiltration – alors démasquée par les organisateurs tellement elle était ridicule et pas crédible – d’une journaliste il y a plus de 20 ans alléguant un esclavagisme sexuel de femmes au sein du Mouvement Raélien. À ce jour, suite à cette information diffusée massivement, très peu de journalistes ont osé faire leur travail en s’informant à la source, et ce dans un objectif de traitement contradictoire. Que craignent-ils ? Commettre un grave crime : celui de l’exercice illégal de la vérité.
La gravité et l’ampleur de cette accusation impose un droit de réponse. Étant précisé que des recours juridiques seront exercés, dans le cadre approprié à chaque pays.
L’esclavage sous toutes ses formes, y compris l’esclavage sexuel est odieux à la fois pour le Mouvement Raélien en tant qu’organisation et pour chaque Raélien individuellement où qu’il se trouve : complètement contraire à notre philosophie, fondée sur le respect de soi, des autres, la non-violence absolue, la responsabilisation.
Le sujet de l’esclavage et de l’esclavage sexuel n’est ni un sujet trivial, ni amusant et ne DOIT certainement pas être abordé avec légèreté. Si la personne qui s’en fait écho connait des cas ou une vérité sur l’esclavage sexuel, elle DOIT s’adresser directement à la police du pays où elle se trouve. Ne pas le faire, ne pas dénoncer auprès des autorités un crime présumé ne la rend-elle pas responsable pour non-dénonciation d’un crime ? A moins que le seul but soit de se faire de la publicité, en discriminant sciemment un groupe et son leader.
Dans tous les cas, sa responsabilité est considérable : soit elle a connaissance de faits et elle DOIT les dénoncer, soit elle prend la responsabilité d’accuser des personnes des pires crimes, sans preuve, comme l’ont fait les médias dans des sombres périodes de l’histoire, en accusant les juifs de crimes infâmes. L’esclavage est un crime et DOIT être signalé. Le fait que la personne accusatrice n’ait pas rendu ce service crucial à l’humanité, apparemment sans aller voir la police, en dit long sur ses valeurs.
Force est de constater que la vérité fait rarement vendre les programmes télévisés ou les journaux. Il est donc tentant d’y ajouter les termes « sexe » et « esclavage » pour vendre un produit que le public veut voir. C’est une accusation croustillante pour les personnes qui n’en voient pas sa gravité. La vérité est que si un reportage était réalisé sur le Père Noël et décrivait réellement la vérité, qui le regarderait et y trouverait un quelconque intérêt ? Imaginons que pour ce reportage des personnes malheureuses ou vulnérables soit ardemment cherché et qu’elles soient disposées à déclarer, pour quelle que raison que ce soit, qu’elles ont « entendu dire que le Père Noël garde des esclaves sexuels, organise des orgies et aime le sexe », est-ce que cela en ferait pour autant une vérité ?
En tout cas, s’il y a un fait, c’est un devoir humain de le signaler immédiatement à la police. « Personnellement, je me rendrai à la police dans la seconde qui suit et je ne laisserai jamais une situation d’esclavage perdurer : apporter des preuves pour rendre service à une personne souffrant d’un crime auquel je peux mettre fin ou libérer cette personne de cela est un devoir humain » a rappelé Glenn Carter, responsable du Mouvement Raélien du Royaume-Uni, à un journaliste. C’est ce que tout être humain DOIT faire.
Le récit d’une journaliste se rapportant à une période remontant à plus de 20 ans et son attitude sont particulièrement édifiants : qu’a-t-elle fait pendant toutes ces années ?
S’il y a vraiment un danger, pourquoi ne s’est-elle pas rendue auprès des autorités policières et judiciaires ?
Dans ce climat d’incitation à la haine, les médias omettent de préciser que RAËL n’a jamais été poursuivi pour des faits de telle nature, ni d’ailleurs pour d’autres faits délictueux ou criminels. Parlant d’ « exil », les médias et instances se prévalant d’une autorité dans la chasse aux sorcières antisectes, voudraient-ils laisser supposer une quelconque fuite ?
Ces éléments traduisent une situation de racisme religieux et de discrimination qui continue de sévir en France et au Québec. Insultes, menaces de mort ont été exercées à l’encontre des raéliens et de leur guide spirituel et sont à l’origine de l’exil forcé de membres de minorités religieuses.
Quand on constate sinistrement la si faible considération accordée à la vie d’un enfant irakien ou d’un enfant de Gaza, ou celle d’un « migrant » crevant en méditerranée, aux yeux de bien des politiques et des médias, celle d’un raélien et de sa famille est bien moindre.
Et qu’en est-il du débat contradictoire et de la liberté d’expression ? Des libertés, tout simplement. En 1992, Raël écrit le livre Le racisme religieux financé par le gouvernement socialiste dans lequel il décrypte la politique inquisitrice de mise à mort des Droits de l’Homme en France (en téléchargement gratuit sur rael.org en cliquant sur l’image ci-contre.) -
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- 78aH* : Le 6 août, date anniversaire de l’explosion de la bombe atomique sur Hiroshima marque l’entrée de l’Humanité dans une période charnière. C’est aussi le début du calendrier raélien : depuis le 6 août 2023, nous sommes en 78aH, 78 après Hiroshima. (Lire plus à ce sujet)