La complexité biologique met l’évolution dans une impasse
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La seule cellule, n’est pas simple. A l’époque de Darwin, les chercheurs ont examiné des cellules sous le microscope, tels de petits ballons remplis, appelés protoplasmes.
160 ans plus tard, nous savons qu’il y a de nombreux types de cellules, et chaque cellule est une petite ville au travail. Le plus petit génome connu (« Mycoplasma genitalium ») possède 482 gènes.
Le minimum possible pour un organisme de survivre est probablement de 200 à 300 gènes. La plupart des bactéries possèdent 1000 à 4000 gènes. Un manuel populaire de biologie évolutionniste évalue la complexité du génome cellulaire simple à à 1600 tomes d’encyclopédies. (…) Les plantes et les animaux contiennent une grande variété de cellules. Le corps humain possède 210 différents types de cellules. Étudions cette complexité qui semblent mettre l’évolution dans une impasse.Les cellules sont constituées de protéines : tout ce qui se passe dans une créature interagit avec des protéines qui en impliquent d’autres …
La cellule vivante est également composée de lipides, de glucides complexes ou moins complexes, et de l’ADN [c’est à dire le génome , qui à lui seul est extrêmement minuscule, mais qui est un échafaudage extrêmement complexe]
Les protéines sont composées généralement de 50 à 2000 acides aminés de long ; toute protéine est composée de 300 amino-acides (acides aminés) par la machinerie des Ribosomes, qui sont eux-mêmes des machines moléculaires composées d’acides aminés…
Les ribosomes, organites internes de la cellule (constructeurs de protéines)
Les ribosomes construisent donc les protéines dans les cellules, en utilisant l’ARN-messager comme modèle : voici un aperçu du fonctionnement d’un ribosome bactérien qui « traduit » l’ARN en protéines ; chaque protéine dans les bactéries est construite selon le schéma suivant (chaine de réactions successives) : voir la 1ère image ci-dessus
Tachmeing, T. Martin, V. Ramakrishnan. 29 Octobre 2009.
Mmécanisme de la traduction. « magazine NATURE, vol 461, p. 1234-1242.Une protéine est non seulement un long ruban d’acides aminés reliés ensemble, mais aussi, il se replie en une structure 3D : schéma d’une protéine repliée & Origami : voire la 3ème image ci-contre.
Pour la Collégialité Évolutionniste, le problème supplémentaire à l’élaboration de l’origami est que cet origami possède de plus des propriétés (de physiologie cellulaire) des millions de fois complexes que le papier. (…)
Les protéines subissant un seul changement d’un seul atome, conduit immanquablement à une protéine qui ne fonctionne pas : et toute la chaine de métabolisme, ne fonctionne plus…
– Le mutationnisme (évolutionnaire) est-il donc viable dans la vie biologique ? les Professionnels de l’évolutionnisme répondent « oui » par soumission professionnelle – mais l’observation de l’ensemble de cette page (SCIENCE : DONNÉES) démontre que non …
Le mutationnisme évolutionnaire serait-il donc anti-science ?
« Les protéines sont construites de telle sorte précisément que le changement des événements quelques atomes en un seul acide aminé peut perturber la structure de la molécule entière. » – Parfois si sévèrement que tout fonction est perdue. (…)Les tâches les plus impressionnantes sont réalisées par de grands assemblages protéiques nombreux formés de molécules de protéines. Chacun des processus centraux dans une cellule … est catalysée par une coordination d’au moins 10 protéines.
La complexité des organismes vivants est stupéfiante : l’évolution dans une impasse !
Dans toute cette complexité à couper le souffle, les Professionnels de l’évolutionnisme ont essayé de classer les fonctions de la cellule : ils ont trouvé pas moins de 17 catégories de fonctions générales ! (…)
Or, chaque catégorie requiert de nombreuses protéines et celles-ci interfèrent (au nombre de 10 à 40) chacune les unes avec les autres et, tout doit être convenablement en place, travailler en synergie, ou bien la cellule est détruite…
Donc, les évolutionnistes font croire que pour chaque protéine, un pur hasard énoncé de longues chaînes d’acides aminés se replient dans les formes exactes pour interagir avec d’autres protéines spécialisées et, le cas échéant, obtenir de l’aide de protéines chaperonnes…DONC, les protéines ne peuvent pas avoir été inventées une par une soit elles toutes là, prêtes à travailler ensemble, soit rien ne se passe et tout se désintègre…
Pourtant, même si on pouvait concevoir des protéines, la mutation, la sélection naturelle ne fonctionne que sur une à la fois et de façon sporadique depuis de nombreuses années.
Considérant que la complexité des protéines, la notion de l’apparition selon le mutationnisme-sélection naturelle, est aussi stupide que de demander à quelqu’un de construire un poste de télévision avec une cuillère et une brosse à dents.
Si Darwin avait eu connaissance du sujet des protéines, il aurait probablement abandonné la théorie de l’évolution. -
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- 76aH* : Le 6 août, date anniversaire de l’explosion de la bombe atomique sur Hiroshima marque l’entrée de l’Humanité dans une période charnière. C’est aussi le début du calendrier raélien : depuis le 6 août 2021, nous sommes en 76aH, 76 après Hiroshima. (Lire plus à ce sujet)
L’évolution dans une impasse : si Darwin avait eu connaissance de la complexité biologique des protéines, aurait-il abandonné la théorie de l’évolution ?
Extraits d’une publication d’E. Didoult, Mai 76aH* Source