Débat sur la ‘Guidance’, part. 2

Vidéo en français, publiée en novembre 79aH*/ 2024, France

Bienvenue à cette conférence sur le Paradisme, une exploration fascinante de la transition systémique et biologique à laquelle l’humanité est confrontée aujourd’hui. Souvenons-nous toujours de garder l’être humain au centre de toutes nos activités et de nos préoccupations concernant son bien-être. Il est essentiel de placer l’humain au cœur du développement technologique et scientifique afin de garantir un épanouissement et un bonheur durables dans la société actuelle. Le Paradisme aborde également l’importance de s’assurer que les nouvelles sciences et technologies, comme l’intelligence artificielle et la robotique, soient utilisées pour le bien-être de l’humanité, et seulement pour cela. « Entre gouverner et guider, il y a une différence fondamentale dans la façon dont on structure une société ».
 
La distinction entre gouvernance (souvent associée à des relations de pouvoir) et guidance (une approche plus collaborative et bienveillante) est soulignée. Dans une société en mutation qui souhaite entrer dans l’ère du Paradisme, il est crucial de passer d’un modèle basé sur l’autorité à un modèle qui privilégie la guidance, permettant aux individus de s’épanouir et de s’auto-diriger, aidés en cela par des Collèges de Guidance tenus par une élite géniocrate humanitariste ; c’est-à-dire par des personnes choisies après qu’elles ont passé avec succès les épreuves-test de recrutement prouvant leur aptitude à guider, leur génie créatif et leur humanitarisme vaillant (amour de l’humanité).
 
Ce changement nécessite une mise à jour de l’éducation et des valeurs véhiculées par la société, qui ne sont souvent pas en phase avec les réalités et les besoins contemporains. Dans le Paradisme, le progrès est un pilier fondamental. Il apporte la liberté. Celle-ci n’est pas un péché, mais au contraire, c’est une possibilité de pouvoir enfin se réaliser. Beaucoup de gens ont une peur inhérente à l’idée de temps libre, souvent associée à l’absence d’activité.
 
Cette appréhension est profonde et fréquente. Le changement de paradigme requis pour adopter une société qui valorise le temps libre doit également s’accompagner d’un changement culturel qui valorise le bonheur et le bien-être au-delà des valeurs de travail. Les retraités, souvent perçus comme inactifs, témoignent d’une réalité différente, où beaucoup d’entre eux trouvent des moyens d’être occupés et d’apporter une contribution active dans divers domaines malgré l’absence d’un emploi traditionnel.
 

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