Boycottons les hymnes nationaux issus des colons !
Appel au Boycott des hymnes nationaux par les athlètes autochtones.
Leurs ancêtres ont été colonisés par la force.
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Boycott des hymnes nationaux créés par les envahisseurs :
Suite à un article qui expose une manifestation ayant eu lieu dans un stade australien, Maitreya Raël a partagé ce commentaire :
« Et ils ont tout à fait raison! Tout athlète de peuples autochtones d’origine, que ce soit en Australie, États-Unis, la Nouvelle-Zélande, Hawaii ou tout autre pays volé par les colons européens devrait refuser de se lever quand « les hymnes nationaux » des envahisseurs sont joués. Tout en refusant aussi de célébrer Columbus Day (Le Jour de Chritophe Colomb) ou de tout autre leader historique de la colonisation. » – Maitreya Raël –
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Deux autres articles sur les autochtones amérindiens :
Maitreya Raël a partagé cet autre commentaire qui traite d’une manifestation ayant eu lieu dans un stade américain :
« Tous les noirs et « indiens » aux États-Unis devraient s’asseoir pendant que les hymnes nationaux sont joués. Car leurs ancêtres ont été soit colonisées par la force ou amenés aux États-Unis par l’esclavage. Tous les sportifs du monde devraient également s’asseoir quand les hymnes nationaux sont joués pour lutter contre nationalisme. C’est particulièrement choquant de voir le cirque de la Formule 1 debout sur tous les circuits pour les hymnes nationaux. » – Maitreya Raël –
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Éducation gratuite et non-imposition pour la population noire en réparation de l’esclavage :
Voici un autre article partagé sur le même sujet pour compléter les précédents. Maitreya Raël a proposé d’aller plus loin en réparation de l’esclavage aux États-Unis :
« Tous les Noirs devraient être admis gratuitement dans toutes les universités américaines en réparation partielle pour l’esclavage de leurs ancêtres … Partielle car cela ne suffit pas! Tous les Noirs devraient également être non imposables car leurs ancêtres n’ont pas choisi de vivre aux États-Unis, mais étaient de force amenés là-bas pour y être vendus. » – Maitreya Raël –
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