L’avenir de l’humanité est la coopération – Raël –

Bonjour les ami.e.s, j’espère que vous allez bien☺
Une histoire vraie: il y a quelques semaines, un coureur kényan qui n’était qu’à quelques mètres de la ligne d’arrivée d’une course confondant les panneaux s’était arrêté pensant qu’il avait terminé la course. Un coureur espagnol juste derrière lui réalisant ce qui se passait se mit à lui crier de continuer à courir. Mais le Kenyan ne connaissant pas l’espagnol ne comprenait pas. Réalisant ce qui se passait, le coureur espagnol a alors poussé le coureur Kenyan pour qu’il franchisse la ligne avant lui. Et donc l’a conduit vers la victoire.

Au journaliste qui l’interrogeait sur son geste, le coureur espagnol répondit que c’était la course du Kenyan, et qu’il était normal de l’aider à gagner. «Mais vous auriez pu gagner!» insista le journaliste. «Quel aurait été le mérite de ma victoire? Mon rêve est qu’un jour nous pourrons avoir une sorte de vie communautaire où nous nous aiderons les uns les autres pour gagner». Connaissiez-vous cette belle histoire?

Cette anecdote est vraie et a été remarquée parce que dans le monde du sport évidemment elle sort du lot. Mais qu’en est-il de ce sentiment de compétition dans notre humanité ? Est-elle un bienfait ou est-elle néfaste? N’est-elle pas nécessaire pour faire avancer la société, l’individu ? Jusqu’à quel point?
 

Compétition ou coopération?

La compétition est présente sur bien des plans que ce soit le plan professionnel, philosophique/religieux ou personnel de l’être humain.

Le plan professionnel d’abord, où le concept de l’évolution développé au 19e siècle a encouragé et donné naissance à une économie développée sur la concurrence, les faibles devant disparaitre pour laisser la place aux forts. Et cette concurrence justifie qu’on laisse sur le carreau les marginaux, ceux qui ne réussissent pas. Le système est plus important que l’être humain.

Le plan philosophique/religieux aussi est victime de cette compétition, comme en témoignent les millions de morts causées par les guerres et autres rivalités entre les différentes religions, depuis des centaines d’années, voire des millénaires.

Même constat sur le plan individuel, où dès le plus jeune âge, on demande à l’enfant d’être le meilleur à l’école. Comme le dit Pierre Rabhi, agriculteur, écrivain et philosophe: «Il est urgent d’éradiquer ce principe de compétition qui place l’enfant, dès sa scolarité, dans une rivalité terrible avec les autres et lui laisse croire que s’il n’est pas le meilleur, il va rater sa vie. Beaucoup répondent à cette insécurité par une accumulation stupide de richesses, ou par le déploiement d’une violence qui vise à dominer l’autre, que l’on croit devoir surpasser».
 

Ce monde a besoin d’aide et de coopération

Ce monde n’a pas besoin de compétition, il a besoin d’aide et de coopération. Nous sommes «un» (Raël –Contact 335)La compétition est en train de détruire la planète explique Raël.
«Le monde n’a pas besoin de compétition, il a besoin d’aide et de coopération».

Comment passer de l’un à l’autre? Voici quelques pistes:
 



 
 

Pensez-vous que c’est possible?

Les Elohim nous ont donné des clés** pour arriver à ce monde sans violence, ni compétition. Saurons-nous les lire, les appliquer, et les faire nôtres?Chaque civilisation qui arrive à un niveau scientifique élevé et qui commence à utiliser des énergies considérables, doit échapper à son envie de dominer ses semblables. C’est une nécessité sinon elle risque d’entraîner son autodestruction en utilisant sa science négativement. Si d’autres civilisations dans l’univers ont réussi à passer cette étape, pourquoi pas nous?
Il ne nous manque qu’un peu d’amour.

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