Un monde avec des machines au service des humains ?
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Je vais vous parler du 1er mai. C’est d’actualité n’est-ce pas ? Un 1er mai qui n’a pas été l’événement que nous connaissons habituellement. Confinement oblige. Il y a eu peu de muguet, et pas de manifestations ni de défilés syndicaux pour cette fête dite du travail, qui pour nous, Raéliens, est la fête du temps libre, la fête du Paradisme.
Pas de revendications de rue ne veut pas dire pour autant qu’il ne faut pas réfléchir sur la façon d’améliorer la situation et faire des propositions.
Et les questions abondent déjà sur l’après-confinement :- – Quelle société allons-nous retrouver ?
– Quels efforts devrons-nous faire pour relancer l’économie ?
– Vais-je retrouver mon ou du travail ?
– Comment vais-je payer mes factures … ?
– Vais-je retrouver ma liberté de déplacement ?
Des interrogations bien légitimes
Ces interrogations, parmi d’autres, sont légitimes. Elles le sont d’autant plus qu’on nous prépare au pire en prédisant d’autres virus, alors que l’actuel n’est pas encore maitrisé. Et les politiques semblent dépourvus de solutions autres que de refaire le même système, et peut-être en pire.
Le coronavirus, nous montre une des limites du système dans lequel nous sommes : pas de travail, pas d’argent. Tant au niveau collectif qu’au niveau individuel. En effet aujourd’hui, dans la plupart des cas, c’est encore l’être humain, esclave moderne, qui fait fonctionner la société et la fait vivre. De ce fait, deux mois sans travail humain, ce sont 2 mois sans main-d’œuvre, sans service pour la société et donc sans argent ou avec réduction des moyens pour le citoyen.
« Tout ce que peut faire un être humain peut être mieux fait par un robot. Dans ces conditions, au lieu de ne faire que travailler pour amasser de l’argent, les humains peuvent laisser les robots accomplir tout le travail à leur place… »
Les machines au service des humains, et non les humains à leur service ?
Et si une partie de la solution était l’inverse de ce qui existe aujourd’hui, c’est-à-dire que ce soient la technique et les machines qui soient au service des humains, et non nous humains à leur service ? Nous avons déjà évoqué cette voie, dans nos précédentes newsletters avec ce nouveau modèle de société que nous proposons et appelons le « Paradisme ». Le Paradisme appelle entre autres, à ce que le développement du progrès scientifique et technologique soit au service de l’humain, et non pas l’humain au service de la production et du système.
Un deuxième point salvateur sera de mettre conjointement en place une Allocation Universelle de Bien-Être (A.U.B.E) pour chacun, non pas pour le seul moment de crise comme on peut l’entendre ici et là, mais de la naissance à la fin de vie, et sans contrepartie. Ce n’est pas un revenu mais une allocation, donc sans obligation de travailler en retour, et suffisamment importante pour assurer le bien-être et non pas seulement un minimum de base ou d’existence.
De multiples financements sont possibles, auxquels la société actuelle n’a pas encore osé penser. Vous les retrouverez dans la newsletter de février consacrée au partage. Et parce que c’est dès maintenant qu’il nous faut préparer la sécurité pour notre avenir, pourquoi ne pas aller influencer votre maire ou votre député pour qu’il réfléchisse et plaide la cause de cette Allocation Universelle de Bien-Être pour tous.
Un changement de société enthousiasmant
… et [les hommes pourront] consacrer leur vie à faire ce qui leur fait plaisir ; créer, faire de la recherche, des études, pratiquer un art, ou encore méditer et consacrer du temps à leur développement personnel. C’est alors que le monde deviendra un paradis terrestre. C’est la raison pour laquelle ce système se nomme Paradisme – Raël – Contact 360
Les robots au « boulot » à la place des humains, et au service de tous les humains, et le bien-être assuré pour tous, amèneront une nouvelle ère, celle du temps libre, où l’homme pourra faire ce pour quoi il est fait : penser, créer, s’épanouir.
Il restera une chose à faire sur le plan personnel : se déconditionner de la nécessité de travailler. On nous a tellement inculqué que le travail est nécessaire, que « travail, famille, patrie » c’est la vie, que nombre d’entre nous avons pu nous poser la question pendant ces deux mois : « qu’est-ce que je vais faire ? » « Comment je vais occuper mon temps ? ». Est-ce que cela a été votre cas ? ))
Un monde sans travail et seulement des activités choisies
C’est tout un apprentissage vers des comportements nouveaux, de créativité, d’imagination, d’échange entre nous. Sortir notre cerveau de la survie pour l’amener vers la liberté.
Imaginez : vous avez à manger, un toit, un environnement de paix. Qu’auriez-vous envie de faire ? Quelle activité ? Rien ? Ou jouer, ou faire de l’art, ou faire votre passion… ?
Faire des concours d’imagination, de créativité, regarder autour de soi voir si on peut aider. Profiter de ce temps pour jouer ensemble. Participer à des micro ou grands projets pour le bien-être de la société… ? Cela arrivera si les humains développent le Paradisme. C’est un choix, et il y aura bien sûr d’autres étapes à franchir pour y arriver. Pas à pas, et le Paradisme nous montre dans quelle direction avancer.
Chez les Elohim, les humains ne travaillent pas. Ils ont été remplacés par les robots pour toutes les activités inintéressantes. Ils permettent aux hommes de vivre ce qu’ils ont envie de vivre.
Conclusion
Sur la Terre, le 1er mai, fête du temps libre, remplacera petit à petit le 1er mai fête du travail et puis le travail disparaitra. Il n’y aura plus de travail forcé, de labeur, mais seulement des activités désirées, choisies.
Des peuples évolués dans l’espace ont réussi ce changement (ce deal), et nous humains bénéficions de l’expérience et des outils que nous ont donnés les Elohim (nos parents de l’espace) pour nous aussi réussir ce deal. N’est-ce pas le bon moment aujourd’hui pour le mettre en place sur terre ?
Maryline, Guide raélienne
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- 74aH* : Le 6 août, date anniversaire de l’explosion de la bombe atomique sur Hiroshima marque l’entrée de l’Humanité dans l’âge de la révélation. C’est aussi le début du calendrier raélien : depuis le 6 août 2019, nous sommes en 74aH, 74 après Hiroshima. (Lire plus à ce propos)
Un monde avec des machines au service des humains, et non des humains au service des machines ?
Par Maryline, Guide raélienne et Responsable pour l’Ile de France et la Normandie