Mise à sac du Palais d’Été en Chine au XIXe siècle.
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Maitreya Raël a partagé un fait historique survenu en à Pékin en 1860 ainsi que le souvenir qu’en a gardé la population chinoise. L’article d’un site historique partage ainsi le détail de cet évènement funeste.
« Les français qui condamnent les destruction de DAESH survenues en Syrie ces derniers mois devraient d’abord balayer devant leur porte.
La destruction criminelle et barbare par les troupes françaises du palais d’été de Pékin puis la destruction par le feu de son immense bibliothèque resteront pour toujours l’un des plus grands crimes de la France. Bien heureusement cela est toujours enseigné dans toutes le écoles de Chine.
Ce qui également pousse fort justement ce pays à construire une armée puissante pour éviter que les impérialistes européens soient encore tentés de s’appropprier les biens de la Chine.
Il faut noter que les musées français ont encore l’audace d’exhiber les objets d’art chinois pillés par ces militaires barbares. Ces objets devraient être restitués immédiatement à la Chine et avec des dommages et intérêts importants. »
– Maitreya Raël –
C’est comme si les Palais de Versailles, du Louvre ainsi que la Bibliothèque nationale avaient disparu dans ce sinistre évènement
Selon un autre article, les 7 et 8 octobre 1860, l’incomparable Palais d’Eté de Pékin, est effectivement pillé par les soldats français et anglais. Le but de leur expédition militaire est de forcer la Chine à commercer avec l’occident et surtout à accepter l’importation de l’opium produit aux Indes par les anglais. Cette destruction a été effectuée en représailles aux tortures et à la mort de prisonniers occidentaux qui étaient otages des chinois.
C’est une perte énorme, incommensurable, irréparable pour la Chine et aussi pour toute l’humanité. Ce Palais était vraiment une des vraies merveilles de cette planète. D’extraordinaires collections d’œuvres d’art s’y trouvaient, amassées sur cent cinquante ans ainsi que l’inestimable bibliothèque mentionnée plus haut. Tout fut entièrement pillé puis brûlé. Pour donner une idée au lecteur français, c’est comme si les Palais de Versailles, du Louvre ainsi que la Bibliothèque nationale avaient conjointement disparus dans ce sinistre évènement.
« C’est l’oeuvre des barbares français. » – Maitreya Raël –
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Pékin, 1860 : Mise à sac de l’ancien Palais d’Été par les militaires français.
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